|
||
Newsletter de Khalifa CHATERAnalyses géopolitiques : Novembre 2019
|
||
Chère/cher abonné(e) Visiteur,Vous trouverez ci-après les dernières publications intégrées à mon site personnel [www.khalifa-chater.com]
|
||
RUBRIQUES
|
||
Le billet du mois Études internationales Articles en ligne
|
||
- Le billet du mois |
||
Novembre 2019 Lors du “printemps arabe”, les puissances régionales (Turquie, pays du Golfe) et internationales (USA et Europe) la Syrie devint le champ d’une longue guerre civile, sous prétexte d’assurer la démocratisation. Cette initiative malheureuse permit à Daech de développer son action, d’affirmer sa volonté d’installer le califat. Dans le cadre de ses vélléités islamistes, il procéda à l’attaque des minorités chrétiennes, de les refouler ou de les réduire à l’esclavage. A cet effet, Daech, conforté par les différents courants de l’islam politique reçut les volontaires des différents pays arabes et institua le “jihad an-nikah ”. Venus à son secours, la Russie, l’Iran et renforts de Hizba Allah réussirent à maintenir le régime, sans éviter son fractionnement de fait. L'offensive lancée mercredi 9 octobre par la Turquie dans le nord-est de la Syrie, ciblant les forces kurdes, prolonge la nuit syrienne. |
||
- Études internationales | ||
Tunisie : l’heure de la vérité !L'économiste maghrébin, n° 774, du 16 au 30 octobre 2019
L’échec de Youssef Chahed et la libération de Nabil Quaroui sonnent l’heure de la vérité. C’est la fin des palabres gouvernementaux contre la moralité du président de Qualb Tounes. Tahya Tounes subit les frais de la dérive, qui tentait de remettre en cause la transition démocratique. Les tentatives d’exercer de l’influence sur l’opinion publique ont échoué. Fut-il en prison ! Nabil Quaroui participe bel et bien au sprint final de l’élection présidentielle. La lecture des résultats électoraux confirme l’importance des mutations des rapports entre les acteurs politiques. ______________________________________ Le nouveau paysage politique…!L'économiste maghrébin, n° 773, du 2 au 16 octobre 2019 “Un acteur politique est jugé par son action et non par son discours”. Le premier tour des élections présidentielles aurait sonné le glas de la classe politique tunisienne, pouvoir et opposition. Il a consacré la victoire d’un candidat méconnu et d’un acteur politique emprisonné. Les candidats de Tahya Tounes, parti du gouvernement, de Nahdha et des autres partis ont été éclipsés, decribilisés. Réponses hâtives de certains “les Tunisiens ont perdu leurs certitudes”. Est-ce que “la vie politique tunisienne a perdu son sens” ? D’autres évoquèrent le risque “de retour au despotisme”. ______________________________________
Présidence : « le palais des miracles » ?L'économiste maghrébin, n° 773, du 4 au 18 septembre 2019 Comment dégager, dans cette confrontation entre les candidats à la présidence, « le bon grain et l’ivraie » ? Comment choisir son candidat, parmi cette liste de personnalités honorables ? Quels termes de références peut-on faire valoir ? Comment distinguer les statuts des candidats, d’après leurs socles de valeurs, leurs itinéraires et leurs discours ? Le choix s’intègre dans l’étude des rapports de forces entre les candidats, leurs partis et leurs équipes. Des constatations primaires doivent être dégagées, fussent-elles souvent occultées par les rites de passage de l’opération électorale : |
||
- Articles en ligne | ||
|
||
Bonne lecture | ||